Années 2000
Valérie
Digne arrière-petite-fille !
Élevée au Pouilly Fumé, Valérie se passionne très vite. Un BTS viticole en poche, elle part aux USA faire des vendanges, et n’en reviendra… qu’un an plus tard, avec des idées plein la tête. Elle reprend le Domaine d’abord avec sa sœur, puis seule depuis 2010. Son credo : améliorer sans cesse la qualité de ses vins.
La reconnaissance est au rendez-vous avec les nombreuses récompenses obtenues au fil des millésimes, ainsi que pour son travail dans les vignes, qu’elle affectionne particulièrement, avec l’obtention de la certification « Haute Valeur Environnementale (HVE) » depuis 2019.
Années 90
Les Filles
La complémentarité
« Les gamines » (Florence et Valérie) assurent et cultivent l’expérience et le savoir-faire transmis par leur père Serge. Deux filles dans ce métier d’hommes ! Mais Serge peut être rassuré, le travail est fait « à l’adroit ! ». Malheureusement Flo nous a quittés trop tôt en 2010, emportée par la maladie. Elle nous laisse orphelins de son sourire, de sa douceur et de sa bienveillance. « L’esprit de Flo » coulera toujours dans nos verres…
Années 70
Serge
Précurseur et perfectionniste
Très jeune à la tête du Domaine (en 1971) Serge, touche-à-tout et perfectionniste dans l’âme, se passionne pour tous les progrès dans l’agriculture et s’intéresse aux nouveaux matériels dont il équipe sa nouvelle cave (1987) notamment en cuves thermorégulées. Grâce à lui, le Domaine intègre de nouvelles pratiques culturales et prend une autre dimension.
Années 50
Émile
La générosité
Calme et généreux, Émile a su s’adapter aux débuts de la mécanisation et passer son exploitation en monoculture (5 hectares de vigne en 1950). Alors qu’il se consacre à l’élaboration de ses vins, Maria, son épouse, développe la commercialisation en bouteille en France et à l’export.
Années 20
La Léontine
Une vraie vigneronne !
Ayant affronté les guerres, le veuvage, la rudesse du travail de la terre avec force et courage, rien ni personne n’a jamais empêché La Léontine de prendre soin de ses 2 hectares de vigne, et de ses chèvres.L’amour du travail bien fait, elle l’a transmis à ses fils Louis et Émile et très tôt à son petit-fils Serge. Il fallait que le travail soit fait « à l’adroit ! »